monotypes élytres
encre et acrylique sur papier, 28 x 20 chaque feuille, 2008-2009

« Ô sables, ô résines ! l'élytre pourpre du destin dans une grande fixité de l'œil !
et sur l'arène sans violence, l'exil et ses clés pures,
la journée traversée d'un os vert comme un poisson des îles…

Saint-John Perse, dans un commentaire sur son poème l'
Exil (ci-haut un extrait du 5e chant) :
« … Gardez votre entreprise au sol et bâtissez avec tout cela
une œuvre hors du temps, hors du lieu, édifiée dans cette re-création…
Je prétends que ma langue est précise et claire. […] »