
O peixe que tínhamos deixado no prato…
acrylique sur papier collé sur polystyrène, 14 x 176.4 x 1.5 cm
(9 éléments de 14 x 19.6 x 1.5 cm), 1996
Tirés d’un poème de Bruno Sibona intitulé Il y a deux rochers,
ces deux vers (Le poisson que nous avions laissé dans l’assiette
Par la décomposition phosphore et nous éclaire les doigts)
se décomposent dans la nuit pour laisser luire ce poisson qui
illumine désormais les eaux obscures de notre mémoire.
